«C’est l’histoire d’une cohabitation. Tacite, entendue ou non, acceptée ou pas. Deux mondes que tant de choses réunissent et que tout oppose. Les relations presse et le journalisme. Une volonté de communiquer, du faire -bien- savoir. Deux parties avec leurs armes. Un jeu peu équilibré. Les premières ont un besoin vital des seconds. Ainsi, les RP et leurs méthodes. Frontales et pernicieuses toujours intéressées par un écho, un papier, mieux un reportage ou un dossier sur l’objet de leur mission. Abreuvant de mails l’innocent journaliste pour vanter l’extrême urgence d’une information capitale à délivrer sans délai. Et, il y a Angélique Warain. Il y a plusieurs années, déjà. Nos routes devaient se croiser. Angélique œuvrait pour quelques clients automobiles, secteur que je couvrais alors. L’approche fut différente. Et réfléchie. Comprendre le média et ses subtilités, l’air du temps -l’actualité et ses contraintes, le journaliste et ses attentes –qui lui permettront de briller in-fine. Prendre le temps de saisir l’instant opportun. Angélique, c’est une approche et une écoute. Et ça change tout. La relation-presse devient une relation professionnelle écoutée et respectée, un échange véritable. Riche, pour tous les acteurs ».